L’Arth tisse des voyages

Auprès des particuliers ou au sein de structures, Sandrine accompagne dans la résilience à travers l’art thérapie.

Sandrine Fort-Guillet se définit comme une accompagnatrice en mieux -être qui a « plusieurs branches à son arbre ». Après avoir été infirmière pendant 28 ans, notamment au planning familial, elle s’est aperçue que lorsqu’elle créait, elle se connectait à elle-même. Cela lui permettait d’être dans l’instant présent et de générer un effet thérapeutique pouvant guérir les maux : « le Jeu devient [alors] le Je ».

Aujourd’hui, elle concrétise cette approche grâce à différents médias. Elle accompagne des personnes à aller vers l’acceptation, le pardon et le mieux-être à travers le média le plus adapté : peinture, collages, couture, dessin, aquarelles… Le pouvoir de résilience est au bout des doigts de chacun.

Au cours de son parcours elle a réalisé plusieurs stages dont un au Plan Local pour l’Insertion et l’Emploi (PLIE) dans le secteur de l’insertion socioprofessionnelle puis elle a été monitrice d’atelier en Établissement ou Service d’Aide par le Travail (ESAT).

Après un accompagnement prépa compétence, Sandrine a rejoint le réseau ESS Vendée en Octobre 2023 dans le parcours rESSort. L’Ouvre-Boîtes lui a également permis de se concentrer sur l’élaboration de son projet d’entreprise et d’en tester la viabilité financière.

L’appartenance au réseau ESS Vendée lui apporte tout du soutien et un cercle vertueux qui lui donne confiance en elle. Les rencontres et les échanges sont au cœur de ses valeurs, notamment lors de sa participation à des forums, comme celui d’aujourd’hui. Elle sera d’ailleurs présente au salon du bien-être de Venansault en Avril et celui de Dompierre-sur-Yon en Mai prochain.

L’Arth tisse des voyages à vocation à intervenir aussi bien auprès des particuliers à leur domicile, qu’au sein de structures comme l’ EHPAD.

Les missions qu’elle souhaite privilégier sont :  l’accompagnement du processus de deuil, la sexualité des personnes en situation de handicap et la reconstruction des femmes victimes de violences. C’est ainsi que pour elle, chacun « peu prendre conscience de ses émotions à travers des ateliers thématiques ».

Réalisé et écrit par Laurence et Aurore, stagiaire formées au métier du conseil professionnel en insertion au CIPECMA

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